Je t’emmènerai.....
J’ai rangé dans la malle au fond de mon grenier
“Hier” comme un bibelot, stigmate du passé,
Sans pour autant renier ce que ma vie d’avant
Avait pu m’apporter comme soyeux instants.
De mes nombreux voyages aux accents colorés
J’ai ramené souvent des herbes parfumées,
Des photos aux sujets inhumains et féroces
De la terre aux semelles et parfois quelques bosses.
Je ne partirai plus sans t’avoir avec moi
Que ce soit à Fidji, à Venise ou Bahia,
Je ne cueillerai plus sauf pour te les offrir
Des brassées d’hibiscus et des roses sourires......
Tomi
Insomnies
Quelle nuit d’ insomnie !!!
Est-ce donc ton départ ?
Nos deux corps sont unis
Quant ta main, au hasard
D’un rêve agité
Me caresse la joue
Avec légèreté
Me mettant sous ton joug.
Alors je me réveille
Mes yeux sont grand ouverts
Et je n’ai plus sommeil !
Voir ton corps découvert
Ainsi à mes côtés
Je repense à ma vie
A l’île de la Cité
Aux jours qui ont suivis
Je regarde ta peau
Appréciant son grain
Vibrant sous le tempo
Que mène avec entrain
Ce cœur que je chéris
Et qui avec mesure
Dans un charivari
Marque ma démesure.
J’écoute et je me tais
J’imprime au fond de moi
Tant de félicité
Qui attise mon émoi.
Lola
J’ai rangé dans la malle au fond de mon grenier
“Hier” comme un bibelot, stigmate du passé,
Sans pour autant renier ce que ma vie d’avant
Avait pu m’apporter comme soyeux instants.
De mes nombreux voyages aux accents colorés
J’ai ramené souvent des herbes parfumées,
Des photos aux sujets inhumains et féroces
De la terre aux semelles et parfois quelques bosses.
Je ne partirai plus sans t’avoir avec moi
Que ce soit à Fidji, à Venise ou Bahia,
Je ne cueillerai plus sauf pour te les offrir
Des brassées d’hibiscus et des roses sourires......
Tomi
Insomnies
Quelle nuit d’ insomnie !!!
Est-ce donc ton départ ?
Nos deux corps sont unis
Quant ta main, au hasard
D’un rêve agité
Me caresse la joue
Avec légèreté
Me mettant sous ton joug.
Alors je me réveille
Mes yeux sont grand ouverts
Et je n’ai plus sommeil !
Voir ton corps découvert
Ainsi à mes côtés
Je repense à ma vie
A l’île de la Cité
Aux jours qui ont suivis
Je regarde ta peau
Appréciant son grain
Vibrant sous le tempo
Que mène avec entrain
Ce cœur que je chéris
Et qui avec mesure
Dans un charivari
Marque ma démesure.
J’écoute et je me tais
J’imprime au fond de moi
Tant de félicité
Qui attise mon émoi.
Lola
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