D’autres prénoms !
Je n’oublierai jamais ceux qui furent pour moi,
Qui resteront toujours, mes grands-parents chéris,
Je les vénérerai, en reines et en rois,
Autant ceux de Lorraine, qu’inhumés à Paris.
C’est dans la capitale que j’ai pointé mon nez,
Les giboulées de mars et leurs bavures blanches,
N’ont en rien entamé le bonheur annoncé,
Vous avez accueilli Tomislav un dimanche.
Je ne suis resté seul que le temps de marcher,
Victoria est venue se lover dans le nid
Que bientôt a rejoint Anna un gros bébé,
Voilà donc ma Lola, tu connais ma famille.
Tomi
Pilar
Pilar n’a pas voulu quitter ce cher Ramón
C’eut été bien trop dur de quitter son galant
Les sons de la guitare s’échappant dans la nuit
L’empêchaient de partir rejoindre sa famille.
Femme extraordinaire qu’Aphrodite bâillonne
Elle ouvrit une salle et donna de son temps
Pour apprendre à danser le step et le boogie
Aux jeunes du pays que le rock émoustille.
Que Papa était fier, lorsque sous sa mantille,
Pilar le conduisait proche du Parlement,
Bras dessus bras dessous ! Ils étaient tout réjouis
De se prêter serment, le soir, sous la charmille.
Il lui fit sa demande un dimanche de mai,
L’amena pour dîner, chez grand-père Pépé
Qui lâcha de partout, à qui voulait l’entendre
Faites moi des enfants, je saurai bien attendre
Lola
Je n’oublierai jamais ceux qui furent pour moi,
Qui resteront toujours, mes grands-parents chéris,
Je les vénérerai, en reines et en rois,
Autant ceux de Lorraine, qu’inhumés à Paris.
C’est dans la capitale que j’ai pointé mon nez,
Les giboulées de mars et leurs bavures blanches,
N’ont en rien entamé le bonheur annoncé,
Vous avez accueilli Tomislav un dimanche.
Je ne suis resté seul que le temps de marcher,
Victoria est venue se lover dans le nid
Que bientôt a rejoint Anna un gros bébé,
Voilà donc ma Lola, tu connais ma famille.
Tomi
Pilar
Pilar n’a pas voulu quitter ce cher Ramón
C’eut été bien trop dur de quitter son galant
Les sons de la guitare s’échappant dans la nuit
L’empêchaient de partir rejoindre sa famille.
Femme extraordinaire qu’Aphrodite bâillonne
Elle ouvrit une salle et donna de son temps
Pour apprendre à danser le step et le boogie
Aux jeunes du pays que le rock émoustille.
Que Papa était fier, lorsque sous sa mantille,
Pilar le conduisait proche du Parlement,
Bras dessus bras dessous ! Ils étaient tout réjouis
De se prêter serment, le soir, sous la charmille.
Il lui fit sa demande un dimanche de mai,
L’amena pour dîner, chez grand-père Pépé
Qui lâcha de partout, à qui voulait l’entendre
Faites moi des enfants, je saurai bien attendre
Lola
2 commentaires:
C'est très beau de lire vos "répons"un peu comme à l'église. mais là, il n'y a pas de choeur mais deux solistes !!
très beau tout ça ! Encore !
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