mercredi 2 juillet 2008

Notre futur ?
Aurons-nous le temps Lolita,
Dans les brumes
Que ses carcans
Déjà saturent,
De nous propulser vers là-bas.
Dis-moi oui ma Lola.

Tes longs cils noirs
Frissonnent, chuchotent, sourient
Impatiemment,
Avidement.
Laisse-moi voir
L’accordé, le demain, la vie,
Ouvre tes yeux ma mie.

Ton image
N’est encor qu’esquisse au crayon,
Je te croque,
Je dessine
Ton visage,
Je converse avec ma raison
Pour freiner ma passion.


Tomi




La fille d’Andalou compte aujourd’hui les heures
Qui séparent encore la magie de l’instant
Où ses yeux extasiés, saturés de candeur
Contempleront Paris dans tes yeux tendrement.

Marcher main dans la main sur les quais de la Seine
Prendre un cappuccino dans le quartier latin
Et quand la rue devient incontournable scène
Assister au spectacle de tant de baladins.

Se laisser emporter dans les nombreux musées,
Partageant, je le sais, une même passion
Pour les toiles de maîtres, cubistes ou abstraits
Ceux de la renaissance avec admiration.

Tomi, je fais réponse au doux mot d’Affection
Au plaisant rendez-vous je répondrai présente.
L’île de la Cité verra la création
D’une ode, que je veux, à l’Amour, éloquente.


Lola

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