mercredi 14 janvier 2009

Felipe; Ah Victoria !

Felipe

Le sourire aux lèvres, tu discours sans arrêt
Des choses que tu aimes sans le moindre regret
Tu mets de la passion dans ce que tu racontes
Et je plains volontiers tous ceux que tu affrontes.

Pourtant, tu as craqué devant la plus fragile
Un tout petit bébé qui te tendait les bras
Laissant ton analyse, jamais on ne saura
Ce qui ta fait céder devant tous mes babils.

Ce que t’avait appris Freud, Lacan ou Dolto,
Pour comprendre les mots de mon espéranto
Ne te servait à rien ;il te restait ton cœur
Pour t’occuper de moi et faire mon bonheur.

Quand je vois aujourd’hui le chemin parcouru,
Les liens qui nous unissent, à faire des jaloux
Tu as su, le premier, en voyant mon air fou
Déceler mon émoi, mes amours éperdues.


Lola


Ah Victoria !

Ne force jamais ton sourire
Pour écouter les chansons blêmes
Toute hypocrisie est blasphème
Et ne pourra que te meurtrir.

N’amène jamais ta foulée
Dans les eaux troubles de l’oubli
Ni dans les lianes en fouillis,
Cultive amour et amitié.

Tu sais comment tendre la main
Mais trop naïve quelque fois
Tu as subi plusieurs coups bas
Et tu n’y penses plus demain.

Que mes conseils petite sœur
Aillent au rythme de tes voyages
Qui jalonnent ta vie mirage,
Tes jours couleur, tes jours douleur.....


Tomi

Aucun commentaire: